Quand j’ai mis les pieds à Amsterdam pour la première fois, je vous avoue que je n’étais pas trop sûre que j’allais aimer la ville. Premièrement, pour ne pas aider, je suis arrivée le matin, après une belle ride d’autobus depuis Bruxelles. On s’entend que je n’avais pas eu le meilleur sommeil du monde. Puis, Amsterdam, c’est une ville assez unique en son genre. Tu arrives et ça te déstabilise. Pourquoi?

Bon, mettons quelque chose au clair : la marijuana est légale. Il y a donc des coffee shops un peu partout et tu as par le fait même des petites odeurs de printemps assez régulièrement qui titillent tes narines. Quand je suis arrivée, comme je vous ai dit, c’était le matin et, pourtant, il y avait encore un homme au plein milieu d’une rue en train de vomir de ses excès de la veille. Une haleine de lendemain de veille pour me souhaiter la bienvenue. Une fois que tu sais te repérer, tout va, mais quand tu ne connais pas la ville, c’est un peu comme un labyrinthe. Tu te cherches, tu ne sais pas trop où aller. Puis, tu croises les fameuses vitrines avec les femmes à l’intérieur qui offrent bien souvent des services sexuels. Et parfois, tu vois même un homme en ressortir.

Ça sonne charmant, non? Mais sincèrement, c’est l’une de mes villes préférées au monde. Comme je viens de vous le décrire, Amsterdam est quand même très différente du Québec. Pourtant, tout ça n’enlève rien à son charme. Après quelques jours, tu te rends compte que ça fait partie du paysage et que la ville ne serait pas la même autrement. Just go with the flow.

Alors, pourquoi j’ai autant aimé Amsterdam? Les raisons dans les lignes qui suivent.

P1010727
1- La maison d’Anne Frank
Qui n’a pas entendu l’histoire de cette petite fille qui tenait son journal durant la Deuxième Guerre mondiale? J’ai lu son livre peu avant mon voyage. Donc, visiter la maison d’Anne Frank était pour moi un incontournable. Cette histoire, racontée à travers les yeux d’une enfant, prend un tout autre sens. Aller visiter les lieux après, c’est assez spécial je vous dirais. Oui, c’est émotif, mais vous serez contents d’y être allés.

P1010745
2- Les canaux un peu partout
Le charme de la ville est sans aucun doute très lié aux canaux un peu partout dans la ville. Les petits ponts, il y en a à la tonne. Et, puisque beaucoup de gens se promènent en bicyclette à Amsterdam, ça aussi, il y en a un peu partout. La combinaison des deux donne un mélange tout à fait séduisant.

P1010850
3- La vibe de la ville
Comme je vous l’ai dit, au début, ça peut être un peu confrontant. Mais, quand tu t’y habitues, y’en a pas de problème! L’ambiance dans la ville est comme nulle part ailleurs, alors autant en profiter! Tout se fait à pied ou en vélo, ce qui est aussi assez le fun.

P1010743
4- Heineken Experience
La brasserie Heineken a été fondée à Amsterdam en 1864. On peut dire qu’aujourd’hui c’est une compagnie qui a fait ses preuves (l’un des trois plus grands producteurs de bière dans le monde). L’ancienne brasserie d’Amsterdam a été transformée en un endroit pour y tenir des visites interactives : la Heineken Experience. On y apprend l’histoire de la compagnie, comment ils font la bière et il y a aussi des dégustations ainsi que plusieurs attractions. Personnellement, j’ai beaucoup aimé et je vous le conseille sans hésiter!

P1010821 P1010820

5- Excursions à proximité
Amsterdam, ce n’est pas très grand. Ça a l’avantage que tout se fait à pied, mais il n’y a pas une tonne de choses à visiter. Heureusement, vous pouvez faire des petites excursions dans les alentours si vous le souhaitez pour en connaître davantage sur les Pays-Bas. J’ai été à Volendam pour visiter un endroit où ils faisaient les sabots et une place où ils faisaient le fromage. C’était super intéressant! Ça durait une journée pour faire les deux tours et Volendam c’était vraiment beau!

P1010769 P1010781

P1010792

Envie de visiter Amsterdam? 

En réservant via ce lien, nous touchons une petite compensation qui n’affecte pas le prix que vous payez et qui nous permet de continuer à faire ce qui nous passionne!

Article rédigé par Maryanne Dupuis.

À lire également sur Nomade Magazine:

[wp_geo_map]