Voyager au Costa Rica apparaît de plus en plus sur les bucket lists. Ça tombe bien, j’ai envie de partager mon amour pour ce pays des plus M-A-G-N-I-F-I-Q-U-E-S ! Alors voilà, le vendredi j’achetais mon billet pour le lundi suivant à destination du Costa Rica. Aucunement planifié, mais ça tombait que j’avais 2 semaines libres au mois de mai. Ainsi, avec une amie, sur le bord d’un feu, a eu lieu un important brainstorm afin de trouver quoi faire durant ces 14 jours de pure liberté. Un road trip dans l’Ouest ? C’était serré dans le temps, mais c’était à une nuit de devenir notre décision finale lorsque, le matin suivant en me réveillant, j’ai écrit à mon amie « On va au Costa Rica ! ».

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À ce moment, j’avais un certain besoin urgent de quitter le Québec. Donc, pas mal n’importe où m’aurait comblée, mais c’est ce pays qui a surgi tout bonnement dans ma tête. Le temps de s’informer sur ce qu’on pouvait y faire, puisqu’en deux semaines visiter un pays au complet est mission impossible, le billet d’avion était acheté.  On n’avait aucune idée des must see et encore moins un itinéraire excepté pour la première nuit. « On verra là-bas, au jour le jour », qu’on s’est dit.

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On est parties sur un coup de tête, un vrai de vrai.

Partir dernière minute comme ça, sans rien prévoir, y’a étonnement rien de mieux. Essayez ! Comme quoi on n’a pas toujours besoin de tout organiser et planifier à l’avance.

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Alors, l’Amérique centrale, là où la chaleur te saisit toujours dès la première seconde dehors, on y était 2 jours et demi plus tard. Une fois le backpack récupéré et bien en place sur mon dos, j’ai tout simplement arrêté de penser. Oui, c’est possible. Tous mes tracas québécois se sont mis en stand by et ont perdu leur importance. C’est un pays chaleureux et accueillant, on s’y sent tout simplement à l’aise. L’envie de tout voir, de tout découvrir nous pogne immédiatement, intensément. On a commencé par la région d’Arenal et La Fortuna. Voir des volcans pour la première fois, c’est excitant pas à peu près. Se baigner dans le cratère du Cerro Chato l’est encore plus ! De même que la randonnée pour t’y rendre, niveau difficile lorsque tu es en p’tits souliers Vans, mais la montée vaut absolument la peine.

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Sauf que j’ai particulièrement envie de vous parler de Santa Teresa, située sur la péninsule de Nicoya, du côté pacifique. On s’était fait dire que c’était bien beau là-bas, alors pourquoi pas? On est libres! 5 heures de shuttle, 45 minutes de ferry et 2 autres heures de shuttle plus tard, on était rendues à Santa Teresa. Cette charmante ville dans la province de Puntarenas a une rue principale. C’est tout. Mais, quelle rue parfaite ! Santa Teresa c’est le « free spirit mood » par excellence, c’est la plage quasi déserte à 100 mètres de l’hôtel, c’est les vagues-pas-toutes-prises-par-les-pros pour apprendre à surfer, c’est paisible, c’est regretter de ne pas avoir ramener un petit quelque chose du Zwart Art Cafe, c’est les virées en 4 roues jusqu’à la réserve naturelle Cabo Blanco, c’est l’Hôtel Meli Melo, c’est Montezuma et Mal Paìs, les villes voisines, c’est des couchers de soleil uniques, c’est les sessions de yoga chaud à l’extérieur, c’est la rencontre de gens merveilleux, c’est l’envie de changer et repousser le plus loin possible la date de retour, c’est l’envie de vivre pleinement chaque instant. Santa Teresa au Costa Rica c’est… PURA VIDA. C’était mon petit paradis et j’y retournerais n’importe quand.

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Costa Rica… Pourquoi pas ? 

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Article rédigé par Jade Tremblay

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